Avec le CADTM, nous te convions à la projection du film Aka Restoring Solidarity 21, du cinéaste palestinien Mohanad Yaqubi, le 21 février à 19 heures. En présence du réalisateur.
Où ? à l’espace Buen Vivir, Place Fernand Cocq 23, 1050 Ixelles
Bar ouvert et empanadas à la vente sur place.
Bar ouvert et empanadas à la vente sur place.
GRATUIT. Sans réservation mais conseillé d’envoyer un mail à info@cadtm.org
bande annonce :https://www.youtube.com/watch?v=nyPhrUSW_GI
Sur le film :
La lutte croissante pour l’autodétermination palestinienne entre 1960 et 1980 a été soutenue par des mouvements de gauche radicale dans le monde entier, y compris au Japon. Ceci est illustré par une collection de films en 16 mm réalisés par des cinéastes militants de différents pays, qui ont été doublés et projetés au Japon. Le public japonais, qui se sentait opprimé par les États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, a non seulement sympathisé avec les Palestiniens, mais s’est également identifié à eux. Sur le plan stylistique, les films varient considérablement. Ils comprennent des interviews de dirigeants de l’OLP, des documentaires sur la vie dans les camps de réfugiés, des films expérimentaux et des films d’instruction à des fins touristiques.
La bobine n° 21 ou R21 vient s’ajouter à cette collection de films, sauvegardée à Tokyo par le mouvement japonais de solidarité avec la Palestine. Il s’agit d’une lettre de solidarité écrite par un activiste japonais qui s’est perdue en route vers un cinéaste palestinien.
Mohanad Yaqubi a puisé dans ce matériel pour créer un film. Il montre comment deux peuples très différents peuvent se sentir liés par des images et soulève également des questions.
Dans quelle mesure une lutte locale peut-elle être traduite au niveau international ?
Dans quelle mesure une lutte locale peut-elle être traduite au niveau international ?
Mohanad Yaqubi est cinéaste, producteur et l’un des fondateurs de la société de production Idioms Film, basée à Ramallah, ainsi que du collectif de recherche et de conservation Subversive Films, qui se concentre sur les pratiques cinématographiques militantes. Récemment, il a été chercheur résident à l’Académie royale des beaux-arts (KASK) à Gand, en Belgique.