Inviter l’intime en écologie : un acte politique de l’écoféminisme ?*

Le projet de Mycelium est d’œuvrer à soutenir les mouvements divers qui s’appellent initiatives de transition, mouvements des communs, désobéissant.e.s, résistant.e.s, “effondristes”… Face aux destructions des modes de vies humains et autres qu’humains auxquels nous assistons, ces mouvements se créent, s’organisent, se connectent. Ils partagent une volonté de lutter contre ces destructions et dénoncent les systèmes de domination et d’exploitation (capitalistes, patriarcaux, (néo)-coloniaux).

Ceci est la seconde partie du texte qui aborde de manière approfondie le sujet de l’écoféminisme. La première partie est ici. Il a aussi fait l’objet d’une publication sur le site de Mycelium. POUR remercie l’auteure, Laura Silva Castañeda et Mycelium d’avoir autorisé la reprise de cette analyse en nos pages.

Deuxième partie – L’intime