Si les firmes pharmaceutiques communiquent largement sur les avancées de leurs recherches pour de futurs vaccins et affichent des résultats merveilleux d’efficacité de leurs premiers tests sur les humains (par des communiqués de presse tonitruants, mais pas par des études scientifiques vérifiables), il est un volet de leurs activités qui reste top secret : les réalités économiques. Mais en cherchant un peu dans les documents financiers, on parvient à voir clair dans leur jeu. Ou alors on attend les bourdes d’une secrétaire d’État…
Si beaucoup de nos contemporains se montrent très méfiants face à l’arrivée très médiatisée de vaccins contre le virus de la Covid, ce n’est peut-être pas seulement par une peur irraisonnée d’une technique qu’ils ont certainement déjà pratiquée à 99% (qui n’a pas été vacciné à de multiples reprises ?), mais parce que, dans ce cas-ci, ils devinent des intérêts financiers gigantesques qui expliquent une précipitation qui pourrait être à l’origine de risques non mesurés. Alors, le Big Pharma, oui ou non, profite-t-il de l’anxiété des populations et de la volonté des gouvernants de bien faire et de leur culpabilité de ne pas arriver à protéger tant de citoyens ?