Évidemment, les dégâts matériels, environnementaux, humains et autres provoqués actuellement par les guerres impérialistes (par exemple en Ukraine) ou civiles (par exemple au Soudan) sont incomparablement plus importants que ceux provoqués durant les récentes “émeutes” populaires en France ou celles de Londres en 2011 ou des États-Unis il y a 3 ans. Au XXIe siècle, comme d’ailleurs au XXe et ses deux guerres mondiales, la barbarie a toujours eu un visage, celui du capitalisme sous toutes ses formes et toutes ses variantes et manifestations.