Mise en demeure de l’Ordre des Médecins
« Votre mission, vous l’avez trahie » ! Harcelés par leur Ordre, les médecins lanceurs d’alerte se liguent pour riposter.
Messieurs les Présidents, vice-présidents, Membres effectifs et suppléants des Ordres des Médecins régionaux et de l’Ordre national des Médecins,
La confiance en notre Ordre a atteint un point de rupture…
Des milliers de médecins ont accepté, jusqu’à aujourd’hui, de se conformer à la Doxa et à la censure imposées par des autorités de santé manifestement sous emprise des grands laboratoires pharmaceutiques et de leurs “experts”.
CROYEZ-VOUS QUE NOUS POUVONS VIVRE SANS VOUS ?
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Nous constatons, parmi nos confrères toujours plus nombreux, une profonde perte de confiance dans l’intégrité et la vraie déontologie du système médical actuel dont l’Ordre des Médecins est censé être le garant.
La colère gronde, parmi les médecins, appelant à un changement radical et immédiat du comportement de notre Ordre faute de quoi nous n’aurons plus d’autre choix que de saisir la Justice, afin de préserver la sécurité de nos patients et afin d’établir les responsabilités pénales et civiles des membres de l’Ordre, à titre collectif et/ou individuel.
Depuis de nombreuses années et encore beaucoup plus gravement depuis mars 2020, il est devenu manifeste que notre Ordre ne nous représente plus, ne défend plus ni la noblesse de l’art de la Médecine, ni les médecins, ni les patients. Cet Ordre est devenu incontestablement le bras armé de la toute puissante industrie pharmaceutique.
Cette industrie est dominée par quelques multinationales devenues plus puissantes que les États et qui leur dictent leurs décisions, via leurs cabinets de consultance et leurs experts à leur service qui ont infiltré les autorités de santé nationales et supranationales.
Se prétendant être au service de la santé des patients, cette industrie est en réalité au seul service des actionnaires des laboratoires pharmaceutiques qui brassent plus de 1.200 milliards de dollars par an, dont une grande partie sert à financer le lobbyisme, la propagande marketing et les financements octroyés aux hôpitaux, aux journaux médicaux et aux experts qui, en leur mangeant dans la main, perdent toute liberté de paroles.
Cette industrie pharmaceutique décide insidieusement de la réussite des carrières d’experts qui abondent dans le sens de ses intérêts financiers, docilement, hypocritement, en suivant l’adage de bon sens qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit !
Nous, médecins de terrain, qui voyons souffrir et mourir nos patients, nous ne pouvons plus tolérer que nos pratiques thérapeutiques soient dictées par des experts souffrant de conflits d’intérêts majeurs, passant du privé au public, travaillant, simultanément ou en alternance, au service de l’industrie et au service des autorités de santé publique.
Nous ne pouvons plus tolérer que des chefs de services d’hôpitaux subsidiés massivement par les laboratoires pharmaceutiques terminent leurs carrières au sommet de l’Ordre des médecins et nous mènent à la baguette pour nous contraindre à devenir les simples prescripteurs des traitements les plus lucratifs pour plaire à l’ogre pharmaceutique.
Le “Lancet Gate” avait pourtant dévoilé aux yeux du monde scientifique à quel point même les plus grands journaux médicaux sont gangrenés par une corruption intolérable qui travestit la science, avec des données falsifiées, discréditant les molécules anciennes, au profit des produits encore sous brevets qui procurent des bénéfices royaux.
La Justice a eu beau frapper de très lourdes sanctions, jusqu’à plusieurs milliards de dollars d’amendes, des multinationales comme PFIZER, condamnées pour publicité mensongère, tromperie et études faussées, l’Ordre des Médecins a malgré tout continué à faire mine d’ignorer cette gangrène de la corruption et des conflits d’intérêts qui détruit notre métier et la qualité de nos soins, au détriment de la santé et de la vie de nos patients.
Des associations de journalistes comme OPEN PHARMA ont eu beau mettre en lumière les financements privés qui amènent des institutions comme l’OMS et SCIENSANO à être sous l’emprise du diktat des grands labos, l’Ordre a continué à dérouler le tapis rouge devant la propagande marketing de ces firmes cyniques, obsédées par leurs seuls profits financiers, comme si cette propagande représentait la Science et la Vérité absolue.
La loi impose à tous les médecins, y compris aux dirigeants de l’Ordre, à déclarer leurs conflits d’intérêts pour tenter de s’opposer à cette gangrène. Mais notre Ordre n’a vu aucun inconvénient à ce que soit nommé vice-Président de l’Ordre national, un médecin, le Docteur Christian Melot, qui déclare ses conflits d’intérêts dans le domaine de la vaccinologie, tout en se vantant, dans la presse, de persécuter des dizaines de médecins qui ont osé émettre des critiques concernant la faible efficacité et la toxicité des injections expérimentales anti-Covid. Comment peut-on être simultanément juge et partie ?
La Loi de 2002 sur la protection des patients nous impose, à nous médecins, d’informer nos patients, de manière complète, pour obtenir leur consentement libre et éclairé. Une circulaire de l’Ordre nous a imposé le contraire, dès janvier 2021, en plein début d’une expérimentation médicale de masse, en nous menaçant de sanctions sévères si nous n’assurions pas la « promotion » inconditionnelle de ces injections expérimentales.
Non seulement l’Ordre nous contraint à enfreindre la Loi, ce qui est déjà d’une gravité extrême, mais ce qui est encore plus indécent, c’est que vous nous forcez à piétiner l’essence même de notre métier, du service dévoué à nos patients, de la balance bénéfices/risques, du Primum Non Nocere. C’est l’esprit et le cœur même de notre Serment d’Hippocrate que vous nous forcez à trahir.
Les études scientifiques avaient déjà mis en lumière depuis 20 ans qu’une immunité collective est impossible avec les coronavirus pour lesquels les mutations sont bien trop rapides, les vaccins imparfaitement immunisants et la mémoire immunitaire trop courte, sans même mentionner le réservoir animal de ces virus les faisant ressurgir sans cesse. Malgré ces évidences scientifiques, l’Ordre a fait mine de croire dans le dogme d’une vaccination miraculeuse de toute la population, avec une nouvelle technologie prétendument sûre et efficace, alors que, depuis 20 ans, l’ARN messager avait montré son absence de fiabilité et sa dangerosité.
Malgré que des médecins lanceurs d’alerte vous aient informé inlassablement des graves effets secondaires de ces injections expérimentales qu’ils constatent parmi leur patientèle, malgré nos tentatives répétées d’ouvrir le dialogue avec l’Ordre des médecins, nous constatons que vous conservez une rigidité extrême dans votre posture et que vous restez radicalement fermés à tout débat scientifique et déontologique, fermés à la liberté d’expression et à la liberté thérapeutique.
Pire que tout ce que nous aurions pu imaginer de la part de notre Ordre, censé défendre la déontologie médicale, nous constatons que vous continuez, avec acharnement, à persécuter des dizaines de nos confrères les plus consciencieux en les sanctionnant lourdement, un par un, les privant du droit d’exercer la médecine pour des durées de 3 mois à 2 ans, simplement parce qu’ils ont osé émettre des critiques envers la gestion de la crise sanitaire et qu’ils ont alerté la population sur les risques des injections expérimentales à ARN messager produisant une protéine SPIKE toxique.
Suite à la censure que vous nous avez imposée, nos concitoyens ont été injectés pratiquement de force, sans l’obtention de leur consentement libre et éclairé, sans avoir été informés des risques encourus. Les conséquences de cette politique désastreuse sont maintenant criantes, sous nos yeux. Nous le constatons quotidiennement chez nos patients, toujours plus nombreux, qui sont abîmés, voire détruits par ces produits faussement appelés “vaccins”.
Comment pouvez-vous encore nier la dangerosité et la très faible efficacité de ces injections géniques expérimentales et leur balance bénéfice-risque défavorable ? Ce pseudo-vaccin tue ou handicape plus que le virus initial dont la gravité s’est, par ailleurs, fortement atténuée avec Omicron.
Le dérèglement du système immunitaire causé par ces pseudos-vaccins est manifeste avec une auto-immunité provoquée par la synthèse d’une protéine virale qui pousse notre système immunitaire à considérer nos propres cellules comme étant étrangères.
En tant que médecins de terrain, la plupart d’entre nous examinent quotidiennement des patients et constatent une forte augmentation des troubles gynécologiques, des myocardites, des Guillain-Barré, des névrites, des rechutes de maladies auto-immunes en rémission, mais également la réapparition d’infections auparavant sous contrôle telles que Lyme, zonas, mononucléoses, CMV…
Nous constatons également la réapparition de cancers en rémission, l’apparition de cancers de novo à progression très rapide appelés « turbos cancers » avec un mécanisme d’action d’altération de la balance IgG4/IgG2 avec suppression de plusieurs mécanismes de défense antitumorale.
L’Ordre des médecins entend-il vraiment poursuivre la censure sur ces informations vitales qu’il est pourtant urgent de transmettre à la population pour l’informer des risques de cette expérience médicale désastreuse ?
Comment l’Ordre a-t-il pu exiger de notre part de violer le principe de précaution (Primum non nocere), d’autant plus avec des produits expérimentaux sur une population saine, sur des enfants, des jeunes, des femmes enceintes mettant en danger leur santé et leur vie, ainsi que celles de leurs fœtus ?
Comme l’a exprimé l’Ordre des Médecins en France, lors de l’audition du Professeur Christian Perronne, il était pourtant du devoir des médecins lanceurs d’alerte, d’informer la population. La Chambre disciplinaire a indiqué clairement que le prétendu “devoir de réserve du médecin” n’est pas d’application, lorsque la santé et la vie de la population sont en jeu.
Dans le cas contraire, comment aurions-nous pu mettre un terme aux scandales sanitaires du passé, du Softenon au Mediator, des prothèses PIP au scandale des opioïdes qui ont fait tant de victimes, jusqu’à ce que des médecins lanceurs d’alerte fassent éclater la vérité ?
Nous considérons qu’il est indéfendable de poursuivre votre attitude de harcèlement de nos confrères intègres et consciencieux qui n’ont pourtant fait que respecter la Loi et l’essence même de notre Serment.
Vous croyez-vous vraiment au-dessus de la Loi, au-dessus de toute Science et de toute logique ?
Pour que vous ne puissiez pas feindre votre ignorance, nous vous soumettons à nouveau, à la fin de cette lettre ouverte, une vingtaine de publications que vous devriez, en tout état de cause, déjà avoir reçues et lues et qui relèvent de la science non subsidiée et non pas des recommandations venant “d’experts” sous emprise de l’industrie pharmaceutique.
Nous sommes consternés que vous n’ayez pas encore pris en compte les nombreux messages que nous vous avons envoyés, lors de ces trois dernières années. Nous vous avons imploré à de nombreuses reprises d’enfin ouvrir les yeux. Vous n’avez rien voulu voir et rien voulu entendre.
Où cela va-t-il s’arrêter ? Que faites-vous des faits réels, de la souffrance et des nombreux morts qui auraient pu être évités avec une prise en charge précoce de la Covid et avec une information loyale et complète sur les dangers des injections expérimentales à ARNm ?
Que vous faut-il pour mettre un terme à cette persécution intolérable contre des dizaines de nos confrères intègres qui respectent la Loi de 2002 et leur Serment d’Hippocrate et que vous suspendez les uns après les autres de leur droit d’exercer la médecine, sous prétexte de délits d’opinions ?
Souhaitez-vous vraiment une nouvelle « science » de la pensée unique se pliant aux décisions imposées par de prétendus experts au service d’une industrie pharmaceutique ? (…)
Docteur Stéphane Résimont, Docteur Alain Colignon, Docteur Eric Beeth, Docteure Gaëtane Beeckaert, Docteure Laurence Kayser, Docteur Martin Zizi, Docteure Anne Franchimont, Docteur Jean-Christophe Robeyns, Docteure Cécile Andri, Docteur Benoît Nicolay.