Le dessin de la semaine

Dans les gigantesques vortex de déchets du Pacifique, anémones et coquillages prospèrent sur les bidons de plastiques, les filets de pêche et autres débris flottants.
Si ces espèces côtières parviennent à survivre en haute mer et à traverser les océans de l’Asie à l’Amérique, c’est grâce à (ou à cause de) la très lente dégradation de ces déchets d’origine humaine, révèle une étude récente.
Si cette image de la vie qui croît malgré la pollution humaine peut nous pousser à sourire, elle ne suffit pas à nous faire oublier que cette pollution et l’activité humaine entraînent la fonte d’une banquise bien réelle plus au Nord, et la disparition de nombreux écosystèmes partout dans le monde…