Alors que les fongicides SDHI sont toujours commercialisés depuis l’alerte de scientifiques en 2017, les nouvelles études sur leur toxicité s’accumulent, révélant l’incapacité des tests réglementaires à détecter leurs effets néfastes. Abeilles, poisson-zèbre, vers de terre… les données récentes montrent que ces substances, censées tuer uniquement les champignons, affectent en réalité l’ensemble du vivant.
Les études scientifiques s’accumulent
Les fongicides SDHI, produits phare de l’agrochimie pour éliminer champignons et moisissures, sont toujours déversés en quantité industrielle dans les champs, en dépit de l’alerte scientifique sur les risques liés à ces pesticides donnée dès 2018.