POUR participe à l’élaboration collective d’un monde meilleurLa crise sanitaire que nous devons tous affronter par la grâce du coronavirus nous pousse à réfléchir à quelle devra être, demain, l’organisation de nos sociétés pour ne pas poursuivre comme des moutons l’actuelle logique suicidaire. Dans cette perspective, POUR souhaite publier textes et vidéos qui illustrent quelles seront les leçons que nous devrons retenir collectivement pour que « le jour d’après » ne ressemble pas aux « jours d’avant ».
Sur le site de notre partenaire, Pressenza[1], des réflexions un peu identiques sont publiées, dont celle reprise ici qui montre qu’aux Etats-Unis aussi avance l’idée que pour que nos sociétés aillent mieux « nous devons changer notre système de croyances ». A.A. |
Chaque jour, toute la journée, nous sommes bombardés de mises à jour et d’analyses sur Covid-19, un virus qui a empêché notre seule et unique planète de « tourner ». Le monde entier est bouclé et presque tout a été fermé : entreprises, centres culturels, institutions religieuses, etc.
Au début des années 80, je marchais dans une rue de Paris lorsque j’ai été arrêté par un Nouvel Humaniste qui m’a parlé de ce nouveau courant d’idées basé sur la nonviolence et le développement personnel, en l’encadrant d’une phrase très simple : « Il n’y a pas de développement social sans développement personnel, et pas de développement personnel sans développement social ».