LES BRÈVES DE LA QUINZAINE DE POUR
La quinzaine sociale, économique et environnementale en Belgique
vue par POUR en 7 BRÈVES.
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BRÈVE 1
Élections européennes, fédérales et régionales en Belgique et conséquences sur l’imposition du patrimoine immobilier et mobilier et/ou sur l’imposition des revenus du patrimoine immobilier et mobilier...
Les résultats des élections du 9 juin 2024 marquent une victoire des partis de droite et de centre droit et la mise en place d’un futur Gouvernement Fédéral et de futurs Exécutifs régionaux, dont les objectifs, si on en juge des programmes des partis qui constitueraient ces coalitions, n’iront pas vers un alourdissement de la charge fiscale sur le patrimoine et/ou sur les revenus de celui-ci.
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Que peut on attendre ?
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1) En ce qui concerne un futur Gouvernement Fédéral.
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1.1) En ce qui concerne la mise en place d’un impôt sur la fortune (mobilière et immobilière) des RICHES DE BELGIQUE, (compétence de l’Etat Fédéral), le débat sur cette mise en place, pour peu que cette proposition survive, est reporté aux prochaines élections.
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1.2) En ce qui concerne un alourdissement à l’Impôt des Personnes Physiques (compétence de l’Etat Fédéral) de l’imposition des revenus mobiliers (dividendes, intérêts et surtout plus values sur actions cotées en bourse et non cotées en bourse et également revenus des blockchains) et immobiliers (taxation des loyers réels nets et imposition des plus values immobilières après 5 ans), il faut craindre qu’aucun alourdissement ne soit mis en place et qu’une éventuelle imposition limitée des plus-values “spéculatives” réalisées par les personnes physiques sur actions cotées en bourse ne soit acquise qu’en échange de la suppression de la taxe sur les comptes titres (comme le proposait initialement le projet de réforme fiscale du Ministre CDV des Finances Van Petteghem).
Aucune imposition des plus values sur cession des actions de sociétés non cotées ( notamment des cessions de participations importantes, seuil de 5% ou de 10%) réalisées par leurs actionnaires et dirigeants personnes physiques, ne serait envisagée (contrairement a quasi tous Etats européens).
Une identification des revenus des blockchains et un alourdissement de leur imposition (dans les faits, en Belgique, ils sont quasi tous non imposés, vu la fraude massive de non déclaration ou leur assimilation a une gestion non spéculative ” de bon père de famille” non imposable, alors que par exemple, en France, ils sont tous imposables et 25% sont imposés par déclaration, 75% étant non déclarés) ne sont pas envisagés.
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2) En ce qui concerne les futurs Exécutifs Régionaux wallon et bruxellois, pour l’aile francophone, pour lesquels le Mouvement Réformateur (MR, droite libérale) et Les Engagés (ex CDH, centre droit d’origine chrétienne) agissent dans une démarche commune.
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– Les Engagés souhaitent supprimer les droits de succession, recettes des Régions wallonne et bruxelloise (droits de succession qualifiés par ceux-ci d’impôt sur la mort). Il s’agit d’une des 6 revendications mises en avant par ce parti dans son dépliant national pour la campagne électorale. Les Engagés envisagent une suppression compensée par d’autres mesures fiscales, notamment par un droit de transmission de 4% ou 5% et par la taxation des donations d’espèces, celles-ci non imposées actuellement en Belgique aux droits de donation (contrairement à d’autres États européens) et dont un projet de les y imposer envisagé il y a plusieurs années avait soulevé de nombreuses réactions négatives dont celles des partis de droite et de centre droit.
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Aucun parti politique n’envisage d’indexation des tranches des barèmes des droits de succession, ceux-ci n’ayant jamais été indexés depuis 1929.
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– Le Mouvement Réformateur (MR) souhaite supprimer le Précompte Immobilier (PrI), impôt régional avec additionnels provinciaux et communaux, perçu par les Administrations fiscales régionales wallonne et bruxelloise, et dont la quasi totalité des recettes va (via les additionnels) aux communes et aux provinces (pour lesquelles les élections se tiendront en octobre 2024). Dans un premier temps, selon les déclarations de Georges Louis Bouchez, président du MR, une réduction de 500 euros serait envisagée pour chaque propriété immobilière occupée par son propriétaire, les immeubles donnés en location étant exclus. Aucune précision n’a été identifiée quant aux secondes résidences. Aucune mesure de compensation n’a été identifiée au profit des provinces et des communes pour compenser les pertes budgétaires de celles-ci, si la mesure devait être mise en oeuvre.
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Ces 2 mesures ne seront pas sans incidences sur les budgets des Régions wallonne et bruxelloise et sur les budgets des provinces et des communes.
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Egalement, selon les modalités qui seraient retenues quant à la suppression des droits de succession et aux mesures de remplacement et de compensation mises en place, une concurrence fiscale pourrait exister au détriment de la Région Flamande, une suppression des droits de succession n’y étant pas envisagée selon nos informations, l’Administration fiscale flamande (Belastingdienst)étant par ailleurs active en ce qui concerne les mécanismes de fraude et d’évasion fiscale en la matière (c’est, par exemple, à son initiative que par une proposition de loi déposée par le CDV et adoptée par le Parlement Fédéral que les donations d’un Belge enregistrées a l’étranger, sans droits de donation, notamment aux Pays Bas -kaasroute- ou dans certains cantons suisses, doivent être déclarées en Belgique et y sont soumises aux droits de donation ).
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BRÈVE 2
TAX THE RICH,
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BRÈVE 5
La loi belge du travail pour les travailleur·euses du sexe.
Le 3 mai à 0h29, le parlement belge a approuvé la loi sur le travail des travailleur·euses du sexe sous contrat. Il y a eu 93 votes en faveur, 33 abstentions et zéro votes contre. Cette victoire marque la fin de deux années d’intense travail de plaidoyer politique, que nous avons mené main dans la main avec nos partenaires Violett et Espace P. ..
Exercer le travail du sexe en tant qu’indépendant·e était déjà possible. Grâce à cette loi, les travailleur·euses du sexe pourront également travailler sous contrat de travail, ce qui leur donnera accès à la sécurité sociale : pension, chômage, assurance maladie, allocations familiales, congé annuels, congé de maternité,… En même temps, la loi garantit que les travailleur·euses du sexe sont protégé·es contre des risques professionnels sur leur lieu de travail et des conditions sont imposées aux employeur·euses.
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Une étape historique
Cette loi est une étape historique dans la lutte pour les droits des travailleur·euses du sexe. Les pays qui ont reconnu le travail du sexe avant la Belgique (Allemagne, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande) n’ont jamais adopté de loi de travail. Pourtant, cela est nécessaire pour assurer un bon équilibre et une relation respectueuse et équitable entre le·a travailleur·euse du sexe et le·a gérant·e. C’est exactement ce que fait cette loi.
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Que dit la nouvelle loi ?
Le·a travailleur·euse du sexe bénéficie de droits supplémentaires en tant qu’employé·e et le·a gérant·e doit se conformer à certaines obligations. Attention, ce droit du travail ne s’applique qu’aux personnes qui signent un contrat de travail pour le travail du sexe, et non aux indépendant·es qui travaillent en free-lance dans une maison ou en tant qu’escort·es indépendant·es. Elle ne couvre également que les contacts sexuels physiques. Le porno, le strip-tease et la webcam ne sont donc pas couverts par cette loi.
Il sera impossible d’exercer une activité sexuelle sous contrat en tant qu’étudiant·e. Il ne sera pas non plus possible d’exercer une activité sexuelle dans le cadre d’un contrat intérimaire ou en tant que flexi-jobber.
Toute forme d’entreprise sera possible, à l’exception des entreprises unipersonnelles. Les entreprises unipersonnelles sont possibles dans le domaine du travail du sexe, mais elles ne seront pas autorisées à embaucher du personnel.
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Quelle est la protection supplémentaire dont bénéficie un·e travailleur·euse du sexe ?
Si un·e travailleur·euse du sexe invoque l’un de ces droits, iel est protégé·e contre le licenciement ou toute autre mesure défavorable de la part de l’employeur·euse. Si un·e travailleur·euse du sexe exerce son droit de refus plus de 10 fois au cours d’une période de six mois, le·a travailleur·euse du sexe ou l’employeur·euse peut demander l’intervention d’un service de médiation gouvernemental. Ce service évaluera s’il y a un problème dans les conditions de travail ou dans la relation employeur·euse-employé·e. Le service peut également proposer des possibilités de réorientation professionnelle.
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Quelles sont les obligations des employeur·euses ?
L’employeur·euse doit demander la reconnaissance et est éligible si :
Il s’agit des principaux délits. Clique ici pour obtenir la liste complète. Les dirigeant·es ou le personnel d’encadrement employé·es par le·a gérant·e ne doivent pas non plus avoir été condamné·es pour des délits figurants sur cette liste.
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Après la reconnaissance :
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Que reste-t-il à décider ?
Cette loi est la base qui s’applique à l’ensemble du secteur du sexe. Dans le cadre de cette loi, trois questions doivent encore être tranchées. Cela se fera par le biais d’un arrêté royal. Nous attendons trois arrêtés royaux :
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Et l’anonymat ?
De nombreux·ses travailleur·euses du sexe craignent de perdre leur anonymat ou de perdre leurs chances d’obtenir un autre emploi si leur contrat mentionne le travail du sexe. Dans l’état actuel des choses, l’anonymat des travailleur·euses du sexe sera garanti. Les travailleur·euses du sexe pourront travailler dans le cadre d’un contrat Horeca qui ne mentionne pas le travail du sexe.
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Les risques
Cette loi est un grand pas en avant, car elle met fin à la discrimination juridique à l’encontre des travailleur·euses du sexe en leur permettant de bénéficier d’un contrat à part entière. Toutefois, elle comporte aussi des risques.
Les nouvelles règles visent à donner aux travailleur·euses du sexe une protection sociale complète et à exclure les gérant·es malhonnêtes ou les exploiteur·euses. Cependant, la clarté de la nouvelle réglementation peut également être utilisée pour réduire ou éliminer le travail du sexe. On voit déjà certaines municipalités se cacher derrière les mots « sécurité » et « hygiène » pour promulguer des règlements locaux très stricts qui rendent le travail du sexe presque impossible sur leur territoire.
Par ailleurs, comment les travailleur·euses du sexe sans statut ou sans résidence légale seront-iels traité·es à l’avenir ? Ce n’est pas clair pour l’instant, car il n’a pas encore été décidé comment la nouvelle loi sera appliquée. UTSOPI est déjà en pourparlers avec des expert·es, l’inspection sociale et les conseils communaux pour peser sur la nouvelle politique.
Nous devons veiller à ce que les nouvelles lois profitent à toustes les travailleur·euses du sexe et ne se transforment pas en une chasse aux plus vulnérables. C’est notre tâche pour l’avenir proche. Pour y parvenir, nous devons devenir une organisation encore plus forte. Nous avons besoin du soutien et de l’aide d’un plus grand nombre de membres, de travailleur·euses du sexe et d’allié·es pour relever ce défi.
Tu es travailleur·euse du sexe, client·e ou gérant·e et tu as des questions ? N’hésite pas à nous en faire part à l’adresse suivante : info@utsopi.be.
N’oubliez pas :
SOYEZ FIÈR.E.S, NOUS SOMMES LES CINQUANTE NUANCES DE GAUCHE, NOUS CHANGEONS LE MONDE EN MIEUX, EUX PAS. |
BRÈVE 6
Changement climatique : Le Crime d’Ecocide voté par l’Etat belge0En ce mois de mai 2024, le parlement belge a voté l’intégration du crime d’écocide(*)dans le code pénal. Cela veut dire que, au même titre que le génocide ou les crimes contre l’humanité, les peines encourues pourront être jusqu’à 20 années d’emprisonnement et 1,8 millions d’euros d’amende. C’est ainsi que Benjamin Van Bunderen Robberechts et sept autres personnes, accompagnées par des ONG ont déposé plainte contre Total Energy. Avec un dossier de plus de 198 pages, ils espèrent freiner la logique meurtrière de la multinationale. Déjà, en janvier 2023, Luc Feys, agriculteur, porte plainte devant le tribunal de Tournai. Il reproche à l’entreprise d’être responsable du réchauffement climatique, avec des conséquences pour son travail. Il vient de Bois-de-Lessines et a préparé un dossier juridique de plus de 190 pages, depuis 2 ans avec plusieurs associations. En 2021, Benjamin tente de sauver son amie Rosa, emportée sous ses yeux lors des inondations en Belgique. Depuis, il décide de s’engager pour le climat et de dénoncer une situation meurtrière absurde. En effet, déjà, dans les années 70, Total Energy connaissait très bien les conséquences de ses activités sur le changement climatique. Il est prouvé que les responsables ont délibérément semé le doute et poursuivi leurs activités en toute connaissance de cause, dans le but unique de poursuivre leurs investissements croissants dans les énergies fossiles. Même si la Belgique n’aura qu’un pouvoir limité à ses frontières – par exemple la mer du Nord-, l’intégration du crime d’Ecocide dans le code pénal belge est une première importante qui pourrait inspirer d’autres pays européens. Pour poursuivre son combat en-dehors des frontières, Benjamin se retrouve à Paris, il y a quelques jours. Avec d’autres ONG en soutien, ils déposent plainte contre Total Energy pour crime d’Ecocide, homicide involontaire et atteinte à la biodiversité. Claire Nouvian, directrice-fondatrice de l’ONG Bloom, spécialisée sur les océans, qui coordonne et finance l’action pénale en France, affirme que « laisser faire (TotalEnergies, ses dirigeants et actionnaires) reviendrait à leur donner un droit au ‘globocide’. C’est impensable. C’est pourquoi nous sommes déterminés à arrêter les criminels climatiques ». Au niveau européen, une directive est à l’étude concernant la criminalité environnementale, destinée à dissuader tous les types de destruction grave de la nature, comme la pollution de l’eau à grande échelle ou la déforestation illégale. Ces dernières années, des organisation et mouvements environnementaux tels que Stop Ecocide, Greenpeace, Canopea, Rise for Climate, Climate Justice for Rosa, la Fondation européenne pour le droit du vivant, Kaya, Climate Coalition et Grandparents for Climate ont fait campagne ensemble pour la reconnaissance de l’écocide en Belgique. Plus de 43 000 citoyen·nes ont signé une pétition pour que notre code pénal intègre une définition ambitieuse de l’écocide. Restons vigilants !! Greenpeace et Stop Ecocide Belgium entre autres s’inquiètent d’un passage du nouveau code pénal qui pourrait mettre en péril le droit de manifester. Le nouvel article criminalisant les “Atteintes méchantes à l’autorité de l’État » permettra une interprétation très large, de nature à menacer directement les manifestations pacifiques et les actions de désobéissance civile. *** Pour aller plus loin : lire le manifeste pour le vote de la loi : https://www.stopecocide.be/manifest ; Communiqué de presse Greenpeace : https://www.greenpeace.org/belgium/fr/communique-de-presse/56257/la-belgique-integre-lecocide-dans-son-code-penal/ (*)Écocide a pour racine « Eco » qui en grec « ΟΙΚΟΣ» signifie la maison et « cide » du latin « occidere » qui signifie tuer. Il s’agit d’un acte criminel consistant à détruire délibérément et en totalité un écosystème que ce soit par le puisement complet des ressources d’une zone, de la mise en danger de son écosystème, ou du trafic international d’espèces protégées qui y sont installées. Le concept de crime d’écocide est débattu depuis 1947 au sein de la Commission du droit international pour préparer le Code des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité. Depuis la fin des années 1990, plusieurs tentatives ont visé à l’intégrer dans le droit international. Mais sans succès à ce jour. Source : Pressenza N’oubliez pas : |
BRÈVE 7
ACHETER CHEZ CITYDEVBruxelles manque cruellement de logements sociaux. Produire plus et plus rapidement est la revendication prioritaire du RBDH car c’est bien le logement social qui répond aux besoins des locataires précarisés pour lesquels nous nous engageons. Pour autant, les opérateurs publics ne produisent pas exclusivement social. Depuis la création de la Région, la production sociale piétine certes, mais nos élus développent, en parallèle, des politiques visant à maintenir et attirer la classe moyenne à Bruxelles. Comment ? En lui proposant des logements qui répondent à ses attentes. Citydev est l’un des opérateurs publics missionné à cette fin. Il se charge de produire des logements acquisitifs neufs, qualitatifs sur le plan énergétique, spacieux, avec espaces extérieurs… situés principalement dans des quartiers présentés comme peu attractifs pour cette même classe moyenne. L’objectif est aussi d’encourager la promotion privée à poursuivre les mêmes dynamiques. Pour convaincre les ménages convoités de les acheter, la Région subsidie 30% du prix. En contrepartie, les acquéreurs s’engagent à s’y fixer pendant 20 ans. Avec plus de 4000 logements à son actif, le moment est venu pour le RBDH de proposer un bilan critique de cette politique généreuse. Elle interroge à plus d’un titre. Les ménages qui font l’acquisition d’un logement moyen ont-ils besoin de l’intervention publique pour devenir propriétaire à Bruxelles ? Les ressources publiques – limitées- sont-elles correctement mobilisées ? Au-delà du public-cible, on questionne leur impact sur le long terme. Si le logement sert l’objectif du Gouvernement – proposer des logements accessibles à la classe moyenne – durant les 20 ans que dure le conventionnement, qu’en est-il après ? L’étude se compose de deux parties principales. La première brosse un portrait des acquéreurs bénéficiaires des productions Citydev. Un portrait nuancé. Pour certain.es, les aides publiques représentent des opportunités d’investissement. De l’autre côté du spectre, l’offre Citydev est particulièrement appréciée des ménages modestes, mal-logés sur le marché locatif privé et incapables de faire face aux prix proposés par le privé. L’expérience du CIRE, qui accompagne les groupes d’épargne collective, en témoigne. Deuxième focale : les logements produits, ce qu’ils coutent à la collectivité et ce qu’ils (r)apportent à leurs heureux.ses propriétaires. Dans cette section, nous nous arrêterons sur le modèle économique de Citydev dans un contexte de forte croissance des prix. L’occasion d’examiner aussi les mécanismes de démembrement des droits envisagés par Citydev pour tenter de sortir de l’impasse. Nous lèverons enfin une partie du voile sur l’après conventionnement : les montants auxquels s’échangent les biens sur le marché et les plus-values empochées par les acquéreurs, au travers d’un exemple concret. C’est bien l’écart entre, d’un côté, les besoins des ménages fragilisés sur le marché de logement et la nécessité de contenir l’envolée des prix, et, d’autre part, la philosophie de Citydev et ses limites, qui nous a guidés dans les réflexions et recommandations formulées en guise de conclusion. L’étude s’ouvre sur une présentation, non exhaustive, de Citydev. Les missions menées et leur évolution témoignent de la confiance et de l’ambition du Gouvernement a pour cet opérateur, toujours qualifié d’efficace. Source : RBDH |
Victor Serge