Voici ce que vous pourrez lire sur le mur de Theo F. (Je vous l’ai traduit en FR)
L’extrême droite est au pouvoir et elle a été cautionnée par ses partenaires de majorité
“Vers un régime migratoire plus strict que jamais.
La situation dans notre pays est dramatique en ce moment. Il faut inverser la tendance.
Voici ce que nous allons faire :
1. La Belgique rejoint la coalition des pays européens qui veulent mettre fin structurellement aux flux migratoires illégaux vers l’Europe.
2. Suspension de la réinstallation des réfugiés.
3. Possibilité de rachat des quotas d’asile européens sous conditions.
4. Suppression de l’hébergement des demandeurs d’asile dans des hôtels.
5. Suppression progressive de l’hébergement des demandeurs d’asile dans des maisons et appartements individuels.
6. Intégration du principe de force majeure dans la loi.
7. Suppression du plan de répartition des demandeurs d’asile dans la loi.
8. Aucun argent liquide pour les demandeurs d’asile, uniquement une aide matérielle minimale.
9. Fin des files d’attente au Petit-Château, uniquement un système d’enregistrement numérique sur rendez-vous.
10. Augmentation du nombre de centres de retour Dublin.
11. Demandes d’asile multiples fortement découragées, plus d’hébergement pour les récidivistes.
12. Aucun hébergement pour les réfugiés reconnus dans d’autres pays.
13. Campagnes de dissuasion en ligne « Ne venez pas en Belgique ! ».
14. Introduction d’une loi « Stop à la crise de l’asile ! ».
15. Obligation maximale de collaboration pour les demandeurs d’asile.
16. Lecture systématique des téléphones des demandeurs d’asile ; en cas de refus, pas d’asile.
17. Nombre illimité de fonctionnaires des affaires étrangères devenant officiers de police judiciaire.
18. Durcissement maximal des procédures.
19. Lutte contre les abus du système d’aide juridique gratuite (pro Deo) pour les demandes d’asile et de séjour.
20. Accélération de la procédure d’asile.
21. Réduction du nombre de statuts de réfugiés reconnus pour rétablir l’équilibre entre protection subsidiaire et protection des réfugiés.
22. Fin des fraudes à l’asile via les enfants.
23. Maintien du caractère temporaire de la protection internationale.
24. Création d’une cellule dédiée au retrait du statut d’asile pour criminels et fraudeurs.
25. Augmentation des frais de demande de séjour.
26. Interdiction du cumul des procédures de séjour.
27. Contrôle renforcé des cartes de séjour temporaires.
28. Pas d’intégration, pas de séjour.
29. En cas de suspicion de fraude, négligence ou abus lors de la délivrance des titres de séjour par les communes, mise sous tutelle des communes concernées.
30. Possibilité de contrôles temporaires aux frontières en cas de circonstances exceptionnelles.
31. Aucune régularisation collective.
32. Introduction d’une caution pour les visas de court séjour à risque.
33. Obligation de signer une déclaration d’engagement pour les nouveaux arrivants ; en cas de refus, pas de droit de séjour.
34. Droit de séjour permanent uniquement sous condition de paiement de frais et de réussite aux tests d’intégration et de langue.
35. Interdiction de la formation de famille avec des bénéficiaires de protection subsidiaire.
36. Pas de regroupement familial immédiat pour les bénéficiaires de protection subsidiaire, demande possible après 2 ans minimum.
37. Introduction de délais d’attente plus stricts pour le regroupement familial.
38. Obligation d’intégration dans le pays d’origine avant le regroupement familial, avec examen préalable.
39. Augmentation significative du seuil de revenu pour le regroupement familial, avec un supplément par enfant.
40. Âge minimum de 21 ans pour le regroupement familial, contrôle renforcé des mariages de complaisance, interdiction des mariages par procuration, suppression des attributions automatiques…
41. Test d’intégration et de langue dans le pays d’origine comme condition de permis pour les imams et autres ministres du culte.
42. Surveillance accrue contre l’espionnage scientifique et économique et les infiltrations via les visas étudiants.
43. Réglementation plus stricte des garanties financières avec un maximum d’une personne à charge, création d’une base de données des garants et d’une liste noire.
44. Renforcement des cellules antifraude à l’Office des Étrangers et tolérance zéro pour les fraudes à l’asile, y compris les vacanciers fraudeurs.
45. Les étrangers radicalisés et les prêcheurs de haine ne sont pas les bienvenus. Politique de tolérance zéro.
46. Les étrangers criminels sont la priorité absolue en matière de retour.
47. Extension du projet « High Trouble » contre les auteurs de nuisances répétées.
48. Augmentation des interdictions d’entrée pour les criminels, interdiction d’entrée à vie pour les terroristes et personnes radicalisées.
49. Plus de criminels étrangers purgeront leur peine dans leur pays d’origine, ou à défaut, dans une prison d’un autre pays européen, comme le Kosovo.
50. L’Ordre de Quitter le Territoire devient un Contrat de Retour.
51. Obligation de signalement fréquent pour les personnes en séjour illégal.
52. Augmentation de la capacité de retour via le Masterplan des Centres Fermés.
53. Augmentation du délai maximal de détention des personnes en séjour illégal à 18 mois.
54. Création d’un cadre légal pour permettre aux forces de l’ordre d’entrer dans les domiciles pour le retour des personnes en séjour illégal.
55. Prime de retour plus élevée pour ceux qui ne font pas appel.
56. Accès uniquement aux soins médicaux d’urgence pour les personnes en séjour illégal.
57. Accords de retour avec une approche gouvernementale globale et une pression légale accrue, abandon des mandats de négociation européens inefficaces.
58. Nouveaux arrivants : pas d’aide sociale pendant les 5 premières années, obligation d’intégration et de travail.
59. Pas de revenu d’intégration pour les personnes en séjour illégal ni pour les citoyens européens inactifs.
60. Instauration d’un examen de nationalité (test de citoyenneté et test linguistique).
61. Les bénéficiaires du revenu d’intégration ne peuvent pas devenir Belges.
62. Augmentation du coût de la déclaration de nationalité de 150 à 1 000 euros.
63. Retrait plus rapide de la nationalité en cas de fraude ou de crimes. Pour le terrorisme, les juges devront statuer automatiquement sur la perte de nationalité.
64. Renforcement de la section judiciaire de l’Office des Étrangers.
65. Les recours des étrangers seront plus coûteux, simplifiés et écrits. Les audiences effectives deviendront exceptionnelles. Tolérance zéro pour les recours manifestement abusifs.
Parce que ça suffit.
J’ai gardé le silence pendant sept mois parce que j’étais le principal négociateur sur la MIGRATION, mais ne sous-estimez jamais ma détermination.”
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